Formule empruntée au peintre Roberto Mangú Quesada, « Bazaine, Balthus, Rothko… Les Enfants de Bonnard » parleront de sa filiation artistique ; l’héritage que constitue la peinture de Bonnard et l’usage personnel et novateur qu’il fait de la couleur, de sa dilatation de l’image plate et de la profondeur. 

Une modernité qui a particulièrement attiré les écoles d’après-guerre françaises et américaines.

Dialogueront ainsi des œuvres de Rothko, Truphémus, Frydman, Balthus, Lesieur, Kimura, etc. et jusqu’à Jean-Pierre Blanche avec une quinzaine de peintures de Bonnard, celles des dernières décennies quand le peintres’approche d’un langage quasi-abstrait sans jamais faire l’économie du réel.

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