Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Vendredi 21 novembre à 15 heures

« Sous la lumière de Renoir »

Situé au coeur d’un magnifique domaine planté d’oliviers et d’agrumes, le Domaine Renoir

constitue le témoignage émouvant de l’univers créatif et familier du peintre qui a passé dans

cette maison les 12 dernières années de sa vie à Cagnes-sur-Mer

Tout juste rénové, il vient de rouvrir ses portes au public après 18 mois de travaux, pour

proposer un regard neuf mais toujours émouvant et authentique sur le site tel que l’a connu

Renoir.

Rendez-vous à 14 heures 45

19, chemin des Collettes à Cagnes sur Mer

Co-voiturage possible, me contacter

Participation (visite accompagnée par une conférencière) : 10 euros

Chaussures confortables pour visiter le jardin

Domaine des Collettes – Maison de Renoir

Vendredi 21 novembre 2014

Un beau soleil et une lumière splendide nous ont accueillis ce 21 novembre à Cagnes sur Mer dans la maison d’Auguste Renoir.

C’est en 1908 que Renoir a acheté ce domaine de 3 ha, planté d’oliviers centenaires.

Atteint de polyarthrite rhumatoïde,  il a du quitter Paris pour un climat plus doux et, après plusieurs séjours dans une maison «  La Maison de la Poste » en plein centre de Cagnes, il trouve ce domaine agricole, occupé alors par un fermier.

En 1907 Renoir peut acheter ce domaine ; son épouse Aline et lui ont alors 3 fils, Pierre, Jean et Claude.

Renoir souhaitait emménager dans la ferme, mais Aline souhaitait une grande maison.

Renoir finit par céder et fit donc construire cette grande maison en pierre, sur 3 niveaux,

Les caves au sous-sol, salon, salle à manger, cuisine, logement pour les domestiques au rez de chaussée, et au premier les chambres d’Auguste, de son épouse, les chambres d’enfants et trois chambres d’amis.

Pour toutes ces chambres une seule salle de bain mais le chauffage central et l’eau courante.

Nous avons parcouru cette maison en compagnie de Jessica, conférencière attachée au Domaine, avec toutes les explications, les anecdotes, tout ce que cette maison familiale a connu.

Sa chambre, dans laquelle il est mort, et surtout son grand atelier, dans lequel est encore en place son fauteuil, et le grand chevalet

Puis chacun a pu visiter le jardin, la ferme, regarder une video avec un passage du «  Déjeuner sur l’Herbe » tourné dans ce lieu par Jean Renoir en 1959.

Un lieu à découvrir pour ceux qui n’on pu être présents.

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Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Jeudi 13 novembre à 15 heures, rendez-vous 14 h 45 sur le parking haut de la Fondation, à Saint Paul.

Accompagnée par Monsieur Olivier Kaeppelin, Directeur de la Fondation

Participation 13 euros

Membres de la Société des Amis : gratuit.

Jeudi 13 novembre à 15 heures, – Olivier Kaeppelin, Directeur de la Fondation Marguerite & Aimé Maeght, nous recevra pour nous présenter lui-même l’exposition du Cinquantenaire  » Face à l’Oeuvre  » .

De 1964 à 2014, 50 ans, 50 artistes, 50 oeuvres qui ont marqué l’histoire de la Fondation.

Face à l’œuvre – Fondation M. & A. Maeght

Jeudi 13 novembre 2014

En cette année du cinquantenaire de la Fondation, trois grandes expositions se déroulent à St Paul.

Une première ce printemps, consacrée à J. L. Sert l’architecte, cet été «  Face à l’œuvre », un retour sur les grandes œuvres qui ont marqué la Fondation et, à partir de cette fin novembre «  Ceci n’est pas un musée », en hommage à la phrase prononcée par André Malraux dans son discours d’ouverture en 1964.

« Face à l’œuvre », c’est ce rapport que chacun d’entre nous entretient avec l’œuvre d’art, ce qu’elle lui dit, ce qu’elle évoque pour lui, ce lien unique et solitaire qui se crée entre l’ouvre et celui qui la regarde, un face à face singulier.

Cette exposition met en perspective les choix d’Aimé et de Marguerite, parfois inattendus pour l’époque, avec des œuvres plus modernes, en proie encore aujourd’hui aux débats de l’histoire.

Monsieur Kaeppelin, Directeur de la Fondation, avec son immense érudition mais aussi cette si grande gentillesse, nous a consacré deux heures de son temps précieux pour évoquer pour nous Kandinsky, Bacon et ses portraits, Barcelo, Miro, Tal Coat, Rebeyrolle, Tapiès, et tant d’autres.

Une visite passionnante, que de choses apprises, pour nous aussi que de dialogues avec de grandes œuvres.

 

 

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Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Le lundi 10 novembre à 14 h 30, nous irons à Vallauris visiter la XXIIIè Biennale Internationale – Création contemporaine et céramique.

Les artistes russes sont cette année à l’honneur.

Tous les deux ans se tient à Vallauris la « Biennale Internationale – Création contemporaine et céramique ».

 C’est en 2014 la XXIIIème édition de cette manifestation que l’Académie Clémentine affectionne et visite régulièrement.

Il s’agit d’un concours avec différentes sections (Contenant – Design – Céramique architecturale, sculpturale et conceptuelle). C’est cette dernière section qui réunit généralement le plus de candidats.

255 dossiers ont été étudiés cette année par un jury composé de personnalités du monde de l’art et de la céramique.

Un pays est invité lors de chaque Biennale à présenter ses œuvres. Après les USA, la Chine ou le Japon, la Russie est présente cette année avec des pièces emblématiques de ce pays au riche passé en matière de porcelaine et d’objets d’art.

Céline Graziani, coordinatrice de cette manifestation, nous a accompagnés avec ses commentaires aussi fournis qu’intelligents, et Danièle Layet, ancienne adjointe à la Culture, nous a fait profiter des son expérience lors des deux Biennales précédentes, toutes deux nous ont apporté un éclairage indispensable.

Deux heures trente que nous n’avons pas vues passer, le Musée avec les pièces de Sergei Isupov, l’Eden consacré à la Russie, le Bibelot et pour terminer l’installation du Japonais Masamichi Yoshikawa à la Chapelle de la Miséricorde.

Quelques photos pour illustrer cette belle visite, et merci à ceux qui ont bravé les intempéries pour être présents, ils ne l’ont pas regretté !

 

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Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

Vendredi 24 octobre à 15 heures

« Les Belles endormies de Bonnard à Balthus »

Un voyage au pays du sommeil et du rêve avec une cinquantaine d’oeuvres d’artistes

modernes de la fin du XIXème siècle : Vuillard, Vallotton, Matisse, Picasso, Brancusi,

Manguin, Van Dongen…

Notre conférencière habituelle, Fanny Lejay, nous accompagnera dans cette exposition dédiée au

mystère de ces « sleeping beauties ». Dorment-elles vraiment ? à quoi pensent-elles ? A quoi rêvent-elles ? Et nous en contemplant ces oeuvres ?

Compte rendu ;

Les Belles Endormies

Musée Bonnard, le 24 octobre 2014

 

          « Je rêve donc je suis »

          A. Strindberg

 

 

Passionnante et longue visite pour les 25 heureux Clémentins ce vendredi après midi au Musée Bonnard.

Fanny Lejay nous a guidés parmi ces belles ensommeillées, cherchant à percer le mystère de ces modèles – la plupart du temps les épouses ou les muses – de Bonnard, Brancusi, Matisse, Picasso, Vallotton, Vuillard, Manguin, Van Dongen, autant de peintres présents dans cette exposition.

Le titre de l’exposition fait référence au livre du japonais Yasunari Kawabata paru en 1966 évoquant ces très jeunes filles endormies, pour passer une nuit de sommeil auprès d’hommes âgés et leur permettre de retrouver une jeunesse perdue.

Depuis la fin du XIXè siècle, cette idée de rêve et de sommeil a inspiré de nombreux artistes et est devenu un archétype dans la peinture, la sculpture, la photographie, la poésie ou la littérature.

Il faut associer à cette émergence la découverte de la psychanalyse et l’on ne peut oublier Freud et son « Interprétation des rêves ».

Pensons également aux « Mille et une nuits », à la « Belle au bois dormant ».

Fanny a insisté sur la difficulté pour un peintre de représenter un modèle endormi, ce qui suppose la non-communication d’une forme d’énergie entre les deux protagonistes d’une œuvre d’art. « Le modèle est mon énergie » disait Matisse.

Quelques toiles ont été particulièrement étudiées, notamment « L’indolente » de Bonnard, œuvre emblématique d’une « Belle endormie », un portrait de Marthe très intime, évoquant le laisser aller du corps dans l’endormissement, dans une forme d’abandon.

De Bonnard à Maillol, ce thème du sommeil, associé au désir ou à une sorte de mort passagère, est une source de créativité intense.

Car qui dit sommeil dit aussi réveil, et un peintre qui rêve sans doute de se transformer en Eros pour redonner vie à sa «  belle endormie ».

 

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Bonnard : Femme endormie, 1928

Rendez-vous 14 heures 45 devant le Musée Bonnard

6, boulevard Sadi Carnot – Le Cannet

Participation : 10 euro

Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2014-2015.

  • LES MOMENTS MUSICAUX DE L’ACADEMIE CLEMENTINE

    CONCERT au TEMPLE DE L’EGLISE PROTESTANTE UNIE

    7, rue Notre-Dame – CANNES

    Samedi 4 octobre 2014

    BALADE & IMPROVISATIONS

    AUTOUR D’UN PETIT PRINCE

    ORGUE et VOIX

    Sophie-Véronique Cauchefer-Choplin, orgue

    Solange Boulanger, récitante

    Pauline Choplin, récitante

    Isabelle Guiard, récitante

     

    Improvisations

    Pièces de Gabriel Fauré  (1845-1924)

    Pièces de Charles-Marie Widor (1844-1937)

     

    Au hasard de textes lus par les trois récitantes, Sophie Cauchefer-Choplin répondra par des improvisations, par des thèmes musicaux indissolublement liés à la poésie et au charme d’une aventure poétique universelle.

    Le secret de cette soirée : se laisser emporter par la musique et les voix, laisser son imagination vagabonder pour un moment hors du temps.

     

    Sophie-Véronique Cauchefer-Choplin : organiste du grand orgue de Saint Sulpice à Paris, professeur au Royal College of Music de Londres

    Solange Boulanger : comédienne et lectrice – réalisatrice de « concerts-lectures » et de concerts musicaux sur France-Culture

    Pauline Choplin : comédienne formée au cours Florent, pianiste et membre de la chorale du Delta (direction Colinne Serreau)

    Isabelle Guiard : comédienne formée au Conservatoire supérieur d’art dramatique de Paris dans la classe de Michel Bouquet

  • Prix des places : 18 € (12 € pour les membres de l’Académie Clémentine)
  •  Capture d’écran 2014-09-18 à 18.04.43

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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  • Prochain concert : Vendredi 19 décembre 2014 – 20 heures 30

    EGLISE SAINT GEORGES

    NOËL BAROQUE

    Bach, Haendel, Buxtehude, Marais

    Iane Roulleau, soprano – Philippe Tallis, violon

    Jean-Emmanuel Caron, viole de gambe – Franck Barbut, clavecin

    Académie Clémentine – 16, avenue du Grand Pin – 06400 – Cannes 06 10 27 13 54

    www.academie-clementine.org     ac.clementine@orange.f

Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

 » De l’expressivité primitive au regard inspiré. « 

Plus de 200 sculptures d’art premier d’Afrique (Collection Jean Ferrero) sont confrontées aux œuvres du XXe siècle à nos jours, de Picasso à Robert Combas.

Visite suivie – pour ceux qui le souhaiteront – d’un dîner avec Frédéric Ballester, le 26 septembre à 18 h 00.

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De l’expressivité primitive au regard inspiré

La Malmaison – 26 septembre 2014 – Compte rendu

C’est un Frédéric Ballester très en forme qui nous a reçus ce 26 septembre à l’heure de la fermeture de la Galerie.

Comme d’habitude nous étions «  chez nous », avec un « accompagnateur » aussi passionnant que passionné.

Une première impression de fouillis très organisé, une mise en perspective très attentivement conçue pour une rencontre entre les arts dits «  premiers » et ce que nos artistes « modernes » leur doivent.

Il est difficile de décrire cette exposition que vaut également et peut être surtout au premier regard pour le non initié/spécialiste par le coup d’œil, par ce qui nous saute à la figure dès la première salle, ces couleurs, ces formes, ces sujets inhabituels, dérangeants pour certains.

Frédéric nous a commenté certaines œuvres en particulier, a retracé la genèse de la découverte par les Européens de cet art « exotique », les premiers voyages au début du XIXè siècle de Gauguin le tout premier, puis de Derain, de Vlaminck qui vont découvrir les objets fabriqués par ces ethnies africaines qui inventaient ce dont ils avaient besoin dans l’immédiateté pour leurs rituels, leurs cérémonies initiatiques ou intercessions auprès des esprits, des sorciers ou autres chamans.

C’était des objets que nous dirions aujourd’hui « utiles », dont on peut sentir en les touchant combien ils ont été utilisés, touchés, caressés.

Beaucoup ont ensuite été détruits, enterrés dans des fosses avec des branchages et redécouverts parfais par hasard

En Europe c’est la course à la nouveauté dans de nombreux domaines, architecture, science, danse, musique, peinture etc, et tous nos artistes vous puiser à cette source nouvelle pour démolir un modèle traditionnel jusqu’à la coupure de la Guerre de 1914.

Mais l’Afrique continuera d’inspirer l’art et elle continue encore aujourd’hui. Dans les années 1950, Arman, César, Hartung y feront de nombreux voyages.

Une dernière remarque en réponse à une question : pourquoi pas d’art océanien dans cette exposition ?

A la différence de l’art africain qui fait référence au quotidien, qui est plus immédiatement accessible, l’art océanien est essentiellement dirigé vers le culte des ancêtres, sans doute plus difficile à appréhender, moins «  expressif ».

La soirée s’est terminée dans l’amitié d’un dîner dans notre habituelle «  cantine », le Legend Café, l’ambiance était détendue, chaleureuse comme à l’accoutumée.

Ecrit par & déposé en vertu de Visites de musées et d’expositions.

«  Clémenceau, le Tigre et l’Asie » jeudi 18 septembre à 15 heures

Visite accompagnée et commentée par Valérie Leferme conférencière du Patrimoine

 

Pour notre premier rendez-vous de l’année, nous nous sommes retrouvés devant l’entrée de ce magnifique musée des arts asiatiques.

Nous étions 24, attendus par Valérie Leferme, conférencière du Patrimoine.

Avec elle nous avons parcouru cette riche exposition, découvert un Clémenceau méconnu, attachant, volontaire, têtu dans ses prises de position, ne s’avouant jamais vaincu.

Quelle vie ! homme politique, médecin, collectionneur acharné, fondateur d’un journal « L’Homme Libre », tellement censuré au début de la première guerre mondiale qu’il le rebaptisera « L’Homme Enchaîné », il est l’auteur de la fameuse formule « J’accuse ».

Grand ami de Monet, grand voyageur, les Etats-Unis où il vivra 4 ans, mais surtout l’Asie où il ira à la rencontre d’une civilisation et d’une spiritualité qui l’ont toujours attiré et passionné. Ceylan, la Birmanie, la Malaisie et Singapour avant de gagner l’Inde où, fasciné par le Bouddha, il s’est rendu sur les lieux saints du bouddhisme.

Cette exposition nous montre une grande partie de sa collection, dont une partie fut dispersée en 1894 lors du scandale de Panama, et qui compta jusqu’à 6.000 objets.

Estampes, peintures, kôgôs ou boîtes à encens japonais, masques, céramiques, mais aussi photographies, quelques toiles de son grand ami Monet, objets et ouvrages lui ayant appartenu, notamment son ouvrage «  Au soir de la pensée » écrit deux ans avant sa mort, sorte de testament spirituel.

Il conserva la plupart de ces objets jusqu’à la fin de sa vie, dans sa maison de Saint-Vincent-sur-Jard en Vendée et dans son appartement parisien, devenu musée Clemenceau, notamment les 500 petites boîtes à encens (kôgô) parmi les 3100 que Clemenceau accumula toute sa vie, aujourd’hui conservées au musée des Beaux-Arts de Montréal et présentés aujourd’hui dans l’exposition, une exceptionnelle vitrine.

Mais, loin d’accumuler les objets dans un seul but esthétique, Clemenceau voulait comprendre leur signification profonde, s’imprégner du sens et de la pensée dont ils étaient issus, raison de son pèlerinage sur leurs lieux de création.

Quelques idées pour mieux connaître cette face cachée du « Tigre » :

Visiter à Paris le Musée Clémenceau 8, rue Franklin, le musée d’Ennery 59, avenue Foch, sa maison et son jardin au bord de l’océan de Vendée.

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Musée des Arts asiatiques

405, promenade des Anglais

Nice

 

Surnommé «le Tigre», Georges Clemenceau s’inscrit dans l’histoire comme l’une des figures politiques les plus importantes de son temps. Celui qui ne fut pas seulement homme d’État et chef de guerre nourrissait une véritable passion pour l’Asie, ses arts, ses civilisations, ses religions. L’exposition est consacrée à cet aspect méconnu de l’homme illustre, grand collectionneur d’objets asiatiques.

Axée sur sa découverte de l’Inde et du bouddhisme, sur l’orientalisme et son intérêt pour l’Asie, la collection de Clemenceau rassemble quelque 800 objets dont une partie fut dispersée en 1894 lorsque, frappé par le scandale de Panama, Clemenceau dut se résoudre à vendre sa collection aux enchères. Estampes, peintures, kôgôs ou boîtes à encens japonais, masques, céramiques, mais aussi photographies sont les témoins de cette passion pour les arts de l’Extrême-Orient.

Loin d’accumuler les objets dans un seul but esthétique, Clemenceau voulait comprendre leur signification profonde, s’imprégner du sens et de la pensée dont ils étaient issus. Clemenceau, le Tigre et l’Asie, révélera comment cet homme, orientaliste, promoteur du dialogue des cultures, contribua à diffuser la connaissance de l’art et des civilisations de l’Asie auprès du public français.

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Ecrit par & déposé en vertu de Divers.

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L’Académie Clémentine sera présente à cette journée  » Portes Ouvertes « .

Les dernières informations sur le programme de la Saison à venir, les concerts, les manifestations prévues ou déjà organisées.

Une  » boite à idées  » pour vos suggestions ou autres commentaires.

Une occasion pour reprendre  (ou prendre) votre adhésion.

Et surtout nous rencontrer.

Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2013-2014.

CONCERTS DE MUSIQUE CLASSIQUE 


Jeudi 21 Août – 21h – Chapelle Saint-Georges 
Avec les lauréats du Conservatoire de Kazan (Tatarstan) et du Conservatoire de Cannes.

Des artistes qui seront les vedettes de demain appréhendent le « frisson » de scènes prestigieuses et la rencontre avec le public, tout en enrichissant leur univers créatif au gré de collaborations et d’échanges avec de jeunes talents cannois.

Des soirées d’une exceptionnelle qualité.

 

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Ecrit par & déposé en vertu de Saison 2013-2014.

LES MOMENTS MUSICAUX DE L’ACADEMIE CLEMENTINE

LES AMIS DE LA LA CHAPELLE SAINT CASSIEN

Vendredi 11 juillet 2014 – 22 heures

L’ensemble « L’IMPATIENCE » aura donné ce concert en Avignon et à Marseille quelques jours avant.

Musique ancienne sur des textes du luthiste anglais John Dowland, W. Shakespeare, Thomas Woodson

L’Impatience est en ensemble formé en 2009 par de jeunes musiciens désireux de faire partager leur passion pour la musique ancienne et de retrouver l’authenticité de l’interprétation musicale propre à chaque répertoire. Pour chaque spectacle, il s’attache à apporter un soin minutieux au choix des instruments et à s’approprier les différents contextes artistiques, thématiques ou historiques.

Ensemble L’IMPATIENCE :

Bérénice Benedetto, Comédienne-danseuse

Roxane Bauzin, Superius vocal

Marie Breillat et Sebastian Vargas, luths

 

A B S E N C E : Musiques et textes de John Dowland, William Shakespeare et leurs contemporains – Londres XVIe

  • Upon Ut re mi fa
  • All ye whom Love or Fortune
  • In darkness let me dwell
  • Think’st thou then by thy feigning
  • My lord Willoughby’s Welcome Home
  • Burst forth
  • Can she excuse
  • Dear, if you change
  • Twenty ways upon the bells
  • Come away
  • Go crystal tears

  • Capture d’écran 2014-08-07 à 11.30.12Capture d’écran 2014-08-07 à 11.30.27
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