Zoom sur le cinéma iranien

Soirée organisée dans le cadre du festival En avant les premières, en partenariat avec le cinéma Les Arcades.
Soirée en partenariat avec l’Académie Clémentine.

Depuis de nombreuses années, Nasrine Médard de Chardon (Dreamlab Films à Cannes) développe des relations très étroites avec le cinéma iranien. Elle en connaît tous les rouages et a noué des liens avec des cinéastes comme Abbas Kiarostami (qu’elle avait fait venir à Cannes au Studio 13, il y a quelques années) ou Asghar Farhadi… Nous présenterons deux films iraniens lors de cette soirée.

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Israfil (drame)

De Ida Panahandeh
Avec Hedieh Tehrani, Pejman Bazeghi, Hoda Zeinolabedin,

(Iran, 1h40)

Mahi est une veuve en deuil de son fils unique. Elle rencontre un jour par hasard Behrooz, un amour d’adolescence qui avait fuit l’Iran suite au scandale causé par leur relation. En dépit des objections de leurs familles, l’ancien amour commence à renaître. Cependant, Mahi découvre que Behrooz est déjà en couple avec Sara, qui à son tour apprend les amoures passées de son fiancé. Elle hésite alors à se marier avec Behrooz et émigrer au Canada.

Valderama (drame)

De Abbas Amini
Avec Hamed Alipour, Nafiseh Zare, Gity Ghasemi

(Iran, 1h31)

Sa crinière sauvage ressemble à celle de la star du football Carlos Valderrama, et le jeune homme a même adopté le nom de son idole. Il n’a aucun document, aucune famille et aucune identité officielle. Un jour, après une rencontre fatidique, il est contraint de quitter la ville à la hâte. Maintenant, il doit se battre pour survivre dans la grande ville, à Téhéran, où il rencontre d’autres personnes qui vivent en marge de la société. Valderama doit trouver un moyen d’obtenir de l’argent et un passeport s’il veut y arriver.